La Colombie, mon pays natal, est l’un des pays les plus violents au monde, façonné par des intérêts politiques et économiques. En Amérique du Sud, le néocolonialisme prospère, et les puissances étrangères considèrent les citoyens comme de simples consommateurs de conflits. Des pays comme Israël tirent profit de la vente d’armes et de la formation de forces paramilitaires, sous couvert de diplomatie. Ce n’est pas de l’hypocrisie, c’est un commerce lucratif. La violence devient un produit, et la souffrance, une monnaie d’échange. Le véritable coût de ce système révèle un effondrement moral, dissimulé derrière l’exploitation de la douleur humaine à des fins lucratives.
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Colombia, my homeland, is among the world’s most violent countries, scarred by political and economic interests. Neocolonialism thrives in South America, as foreign powers see citizens as consumers of conflict; nations like Israel profit by supplying weapons and training paramilitary forces under the guise of diplomacy. This isn’t hypocrisy—it’s profitable business. Violence is commodified, and suffering becomes currency. The human cost in this system displays the total moral collapse that occurs when human pain is exploited for financial gain.